Associer le confort au bien-être et au matériel suffit-il pour le définir ? La notion de confort varie d’un individu à un autre en fonction des besoins, mais aussi des différents degrés de tolérance face aux inconforts. On arrive en effet à mieux définir une situation inconfortable et de fait à dire que le confort serait un état dans lequel nous ne ressentons pas de désagrément ou ne subissons pas d’impacts négatifs.
Mais cette difficulté de définition quantifiable du confort ne doit pas être un obstacle à son intégration dans les projets de construction et de rénovation. Le confort doit être considéré de moins en moins comme un avantage ou un luxe, mais plutôt comme la volonté d’être un standard ou une référence participant au bien-être et à la santé.