Le bâtiment, un de ces lieux clos où nous passons une grande partie de notre temps, peut être à l’origine de diverses nuisances pour notre confort, mais également notre santé. Une des causes ? L’air intérieur que nous respirons, pollué par diverses sources et émanations, et bien souvent par une absence de systèmes de ventilation et de renouvellement d’air appropriés, en bon état de fonctionnement. Plusieurs études, dont celles de l’observatoire de la Qualité de l’air intérieur, ont ainsi démontré que l’air que nous respirons peut être cinq à dix fois plus pollué à l’intérieur qu’en extérieur. Source image : «[...]
Lire plus...« L’air intérieur est identifié comme 5 à 10 fois plus pollué que l’air extérieur, or nous passons 80% de notre temps à l’intérieur de bâtiments » Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur. Passant entre 70% et 90% de notre temps en espace fermé, tout le monde est concerné par la Qualité de l’Air Intérieur (QAI). Du simple inconfort aux pathologies liées à l’habitat, la compréhension et l’importance de la QAI, souvent négligée, mérite un souffle nouveau, en matière de bienfaits et d’optimisation au sein des espaces clos. La qualité de l'air intérieur en retard Bien que la question de la[...]
Lire plus...[MAJ mai 2019] Notre mode de vie fait que nous passons en moyenne 70 à 90 % de notre temps à l’intérieur d’un environnement clos : école, bureau, logement, transports. En vivant dans ces environnements nous y respirons et par conséquent la qualité de l’air intérieur, négligée pendant des décennies, influence notre bien-être et notre santé. Ainsi le bâtiment, un de ces lieux clos où nous passons une grande partie de notre temps peut être à l’origine de diverses nuisances pour la santé humaine. La dégradation de l’air intérieur favorise l’émergence de symptômes tels que maux de tête, fatigue, irritation[...]
Lire plus...Synthèse de l’atelier de l’OQAI, qui s’est tenu le 23 mai 2017 et qui présentait les résultats de son programme relatif aux bâtiments performants en énergie, notamment les données les plus récentes sur la perception des occupants de ces bâtiments. Cette étude doit permettre d’identifier des pistes d’amélioration concernant les niveaux de qualité d’air et de confort des ouvrages performants, neufs ou nouvellement réhabilités. En effet, l’OQAI explique que les avancées doivent se faire en cohérence avec la qualité de l’air intérieur et le confort des occupants car « les mutations dans la conception et les modes constructifs des bâtiments sont[…]
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